ysan avait décidé de suivre le combat et s'était installée au pied d'un arbre ..

Ah bon , une épée contre une ... cravache... .

laquelle de ces armes est la meilleur ... enfin faut voir aussi celui qui la manie... pensa t elle.

Ne voulant troubler aucun des adversaires , elle resta là silencieuse .

je vois Bad tournoyer sur lui même et se baisser d'un coup .
La douleur fut atténuée par les jambières en cuir mais l'attaque avait porté
Corne de bouc c'est qu'il est souple le vilain!!!

washita a effectué 1 lancé(s) d'un Duel :

9

Le coup à la fesse avait porté ! Mais la petite blague n'était pas au goût de Washita qui me flanqua un solide coup d'épée dans la machoire...

Je vis les étoiles l'espace d'une seconde. Sans poésie. Cette fois, l'amour n'y était pour rien...

Je passais la langue sur mes dents ensanglantées, pour vérifier qu'aucune ne me manquait... Puis crachais une gerbe de sang.

C'est bon... Stop ! T'as gagné... Arretons là...

Je lachais la cravache. La tête me tournait encore lorsque je fis un pas en avant... Très sale journée pour moi. Je n'étais pas prêt de revenir à l'arène de sitôt

oh je suis tellement désolée mon amour je ne voulais pas te blesser .
Je me promis à cet instant que plus jamais je ne combattrais contre lui..oh non...
D'une toute petite voix:
Je peux te soigner.....

Ysangrin fit l'abandon de Bad , mais n'osa se précipiter vers Wash pour la féliciter.

Elle s'approcha à petits pas , fit un clin d'oeil à la jeune femme et un beau sourire .
Puis s'adressant aux deux , elle dit:

beau combat ... je dois dire qu'une cravache contre une épée c'est peu orthodoxe

Arrivai avec grâce dans l’arène, vêtue d’un vêtement qui me seyait à merveille, et qui me permettait d’agir plus librement, je prenais le ton et l’allure d’un parfait gentilhomme ou parfois d’un véritable chevalier.

Cette tenue était *une culotte en cuire *.

Lorsque j’arrivai au milieu de l'arène, personnes ne pouvaient nier mon intelligence, mon agilité, ils reconnaissaient mes bottes et mes signes que je faisais avec mon arme à double tranchant, tout en combattant avec mes deux mains.

Chaque jour les guerriers, qui désiraient combattre ou apprendre mes techniques, s’inscrivaient sur un parchemin. La liste était longue et je ne pouvais pas assurer tous les combats demandés.

Dès que je me trouvais au milieu de l’arène, je ne tenais plus en place mon sang bouillait et m’empressait de combattre en duel mon adversaire. Avec mes deux mains je tenais l’arme avec adresse et légèreté. J’esquivais la lame du guerrier qui me faisait face.

Là ! Sans rien laisser apparaitre je prenais plaisir, d’infliger à mon adversaire une botte signée de mon style, avec la pointe de mon arme je découpais avec délicatesse, le plastron ainsi que le pantalon, de mon adversaire, je m’en foutais s’ il était un gentilhomme ou même d'un rang supérieur au mien.

Lorsqu’il se retrouvait au milieu de l’arène dans une tenue, un peu insolite.
^^ La foule riait à pleine dent.^^

Le narguais avec mes lames bien aiguisées. Une ou deux pirouette et voici que mes lames sans faire exprès s’enfonçaient dans la chair de mon adversaire, dès que le sang gisait et qu’il se mettait à gémir.

Ma sensibilité de femme je ne pouvais pas le laisser dans un tel état.
^^Rire narquois^^

C’est alors que je lui demandai d’une voie suave, s’il voulait continuer ou arrêter le duel ?

La réponse était évidemment non !
^^Quel homme aurait eu l’audace de répondre positivement.^^

Surtout ! Au vu de toute une assemblée de villageoises et villageois, qui aimaient assister à tous mes combats !

Après plusieurs feintes l’homme se retrouvait à terre, ayant presque plus de souffle, il me suppliait de lui laisser la vie.

^^S'il vous plait ! ..... Je serai votre serviteur ou ce que vous voudrez !........ Laissez-moi vivre !^^

Je le regardai en rougissant de voir cet homme, beau comme un apollon.
^^ Je passe sur la description de son corps nu^^

Mes yeux regardaient la foule !

Et d’un coup d’agilité, de souplesse je fis tournoyer mon arme qui se planta, juste à deux centimètres de ce corps blessés.

La foule m’acclamait et fière je remis dans mon fourreau mon arme a double tranchant, me dirigea vers la sortie de l'arène afin de me reposer dans ma tente privée.

Quand j’entendis depuis ma tente, les gémissements d’un guerrier, d’un pas tranquille me dirigea vers la tente, et je vis le bel homme et alla lui parler !

Gentilhomme ! Vous êtes fort beau seriez-vous d'accord de venir festoyer dans ma demeure avec mes amis ?